Cet hiver, Alexandre d’Huy investit le sous-sol du campus Biotech. Entre explosions de pigments et grosses cylindrées militaires, il émane des œuvres du peintre montreuillois une puissance saisissante. A mille lieues des images sanglantes qui nous sont servies quotidiennement dans les médias, les toiles de l’artiste révèlent une toute autre esthétique de la guerre.
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